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30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 23:03

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 22:09

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 00:35

Dalil Boubakeur, président du Conseil français du culte musulman, a annoncé la fin du mois de jeûne au coucher du soleil mercredi soir, et la fête de l'Aïd el-Fitr jeudi matin.

Le jeûne du de ramadan se termine ce mercredi soir au coucher du soleil. Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman (CFCM), l'a indiqué sur notre antenne: "Ce (mercredi) soir se termine le mois du ramadan."

"C'est donc demain matin qu'aura lieu la fête de l'Aïd el-Fitr", a-t-il précisé. La "fête de la rupture" célèbre la fin du jeûne, le premier jour du mois qui suit le mois de ramadan. Dalil Boubakeur a souhaité une "bonne fête" de l'Aïd el-Fitr a l'ensemble des musulmans de France, et précisé que la prière solennelle aurait lieu dans toutes les mosquées "à partir de 9 heures" jeudi matin.

29 jours de jeûne cette année

Jusqu'au bout, l'incertitude régnait sur la date de fin du mois de ramadan, basé sur la lunaison. Pour déterminer la fin du jeûne, les dignitaires religieux devaient en effet scruter la Lune à l'oeil nu. Pour qu'il y ait changement de mois dans le calendrier musulman, le nouveau croissant devait être visible. Autrement, les musulmans auraient dû attendre un jour de plus.

Ce mois de ramadan particulièrement éprouvant, puisque tombé en plein été, aura donc duré 29 jours au lieu de 30 certaines années. Les calculs se sont fondés sur les observations de la Lune dans sept pays et notamment à La Mecque, en Arabie Saoudite.

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 17:40

Fin du Ramadan 2013 : la Zakat el Fitr et ses bénéfices

La fin du mois de Ramadan est malheureusement proche, l’occasion de rappeler quelques aspects de Zakat el Fitr. La Zakat est un des cinq piliers de l’Islam. Cela est maintes fois prouvé dans le Coran et la Sunna. Ce pilier consiste à verser une aumône selon certaines conditions Al-Boukhari mentionne dans son sahih qu’Abou Hourayra rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Celui a qui Allah a octroyé des biens et qui n’acquitte pas la Zakat, on lui représentera ses biens sous la forme d’un serpent chauve,

La fin du mois de Ramadan 2013 – 1434 est malheureusement proche, l’occasion de rappeler quelques aspects de Zakat el Fitr.

La Zakat est un des cinq piliers de l’Islam. Cela est maintes fois prouvé dans le Coran et la Sunna. Ce pilier consiste à verser une aumône selon certaines conditions que nous n’exposerons pas ici. aux yeux perçants, au dessus desquels se trouvent deux taches noires. Ce serpent l’étreindra [au point de l'étouffer], puis le saisira par sa mâchoire et lui dira : « Je suis ton argent, je suis ton trésor. » ». Tous ceux qui ne s’acquittaient pas de la Zakat savent désormais ce qui les attendent. Qu’ils s’empressent donc de verser cette aumône !

De plus, Allah dit {À ceux qui amassent l’or et l’argent et ne les dépensent pas dans les sentiers d’Allah, annonce-leur un châtiment douloureux.} (Sourate 9 : Verset 34). La Zakat est donc une obligation incontestable pour tout musulman et celui qui ne s’en acquitte pas sera châtié. Et Allah ne manque jamais à sa promesse. À nous de nous acquitter de cette aumône de manière convenable afin d’éviter toute punition.

La Zakat el fitr

La Zakat el fitr est une aumône que doit verser tout musulman à la fin du jeûne du mois de Ramadan. Cette obligation a été instituée par notre Prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam). Dans un hadith rapporté par Al-Boukhari et Muslim, ‘Abdullah ibn ‘Umar (qu’Allah l’agrée) a dit : « Le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a imposé la Zakat de la rupture du jeûne (el fitr) du mois de Ramadan, sur tout musulman, esclave, libre, homme, femme, petit ou grand. ». La Zakat el fitr est donc une obligation pour tout musulman, à la fin du mois de Ramadan.

Elle consiste à verser deux kilos et quarante grammes de ce dont les gens se nourrissent. Cela est conforme à la Sunna. En effet, Al-Boukhari rapporte que Abou Sa’id Al-Khudriy (qu’Allah l’agrée) a dit : « Du temps de l’envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam), nous donnions le jour de la rupture du jeûne un sa’ de nourriture, et celle-ci consistait en de l’orge, des raisins secs, du fromage séché ou des dattes. » Un sa’ représente deux kilos et quarante grammes de blé et c’est l’unité par laquelle le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a fixé la Zakat el fitr. Certains savants comme Abu Hanifa (Rahimahoullah) ont permis de s’acquitter de la Zakât oul Fitr en donnant l’équivalent en monnaie du poids d’aliments prescrit par le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) :

Des rapports indiquent que le Calife Oumar Ibné Abdil Aziz r.a., Hassan Basri r.a. et Atâ’ r.a. étaient également de cet avis. Face à eux, l’Imâm Ach Châféi r.a., l’Imâm Ahmad r.a., l’Imâm Mâlik r.a. et un très grand nombre d’autres savants sont d’avis que la Sadaqat-oul-Fitr ne peut être donnée qu’en nature.

Pour ce qui est de l’argumentation de l’Imâm Abou Hanîfah r.a., en fait, en matière de Sadaqat-oul-Fitr, il suit la même approche qu’en ce qui concerne l’aumône obligatoire, la Zakâte. Pour lui, dans cette aumône, c’est l’aspect d’entraide sociale qui est fondamental et qui prime; ainsi, alors que les savants châféites, mâlékites et hambalites prennent avant tout et surtout le côté rituel de la Zakâte en considération (d’où la position qui consiste à ne permettre l’acquittement de la Zakâte que de la façon indiquée par les références authentiques rapportées du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), comme c’est le cas pour les autres « Ibâdâtes » (actes d’adoration)), pour les hanafites, la Zakât est surtout un devoir financier imposé aux riches afin de satisfaire aux besoins des plus démunis: A partir de là, les hanafites sont d’avis que l’essentiel est de satisfaire au mieux les besoins du pauvre et du nécessiteux. Ils permettent donc toute méthode d’acquittement qui respectera cet objectif.

Lire la suite sur Muslimfr.com

Il faut payer cette Zakat avant la prière de l’Aïd, sinon elle sera considérée comme une aumône quelconque. En effet, ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « La Zakat de la rupture du jeûne obligatoire est une purification des paroles et des actes futiles, et un moyen de nourrir les pauvres [le jour de la Fête]. Quiconque l’a payée avant la prière [de l'Aïd] s’en est acquitté, et elle sera acceptée ; tandis que celui qui l’acquitte après la prière, elle lui sera comptée comme une aumône parmi les autres. » Cependant, si nous sommes dans l’incapacité de la verser avant le jour de l’Aïd, nous devons la verser dès que cela nous est possible. Appliquons nous à suivre la Sunna du Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) car il n’y a pas de voie plus noble que la sienne.

Les bénéfices de la Zakat sont d’ordres religieux, social et moral

La Zakat possède de nombreux bénéfices mais nous n’en citerons que quelques uns. Tout d’abord, la Zakat étant l’accomplissement d’un pilier de l’Islam, elle procure notre bonheur sur terre comme dans l’au delà incha Allah. De plus, cela nous rapproche de notre Seigneur et amplifie notre foi car nous nous en acquittons par amour et crainte envers Allah. De même, Allah nous récompense pour nos aumônes versées, Il dit : {Allah anéantit l’intérêt et fait fructifier les aumônes.} (Sourate 2 : Verset 276). Quel meilleur bénéfice que la récompense de Notre Seigneur ? Acquittons nous donc convenablement de cette aumône afin d’espérer être récompensés par Allah Le Très Généreux.

Par ailleurs, la Zakat possède des bénéfices moraux tel le fait que nous faisons preuve de compassion et de miséricorde envers nos frères. Et Allah fait miséricorde aux miséricordieux. De plus, aider nos frères apaise nos cœurs et éradique notre avarice. Notre comportement est donc meilleur et notre âme purifiée. Allah Le Très Haut dit à ce sujet : {Prélève de leurs biens une aumône par laquelle tu les purifies et les bénis.} (Sourate 9 : Verset 103). La Zakat nous permet donc d’être solidaires entre musulmans, de faire preuve de compassion et de bénéficier de la bénédiction de Notre Seigneur.

Enfin, ce pilier présente des bénéfices sociaux. Parmi eux, le fait de répondre aux besoins des pauvres et de renforcer les liens entre musulmans. De ce fait, les pauvres n’éprouvent plus de rancœur envers les riches car ces derniers sont solidaires envers eux.

Ainsi, la Zakat comporte des biens pour tout musulman et pour la société. Acquittons nous donc de cette aumône de la meilleure manière qui soit c’est à dire en suivant les commandements d’Allah et la Sunna du Prophète (‘alayhi salat wa salam). Puisse Allah nous éloigner de toute avarice et de toute rancœur. Puisse-t-Il accepter nos aumônes et les faire fructifier. Amine

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 00:00


Chiites_Ndzuwani
Mahamoud Abdallah Ibrahim, connu comme étant le gourou des adeptes du chiisme à Ndzuwani, a été arrêté avec dix-sept de ses coreligionnaires par la gendarmerie, vendredi à Mutsamudu. Du matériel radiophonique (tuner, microphones et haut-parleurs), servant à ses prêches, a été également saisi à son domicile, sur la terrasse duquel est aménagé un espace de prière et de rassemblement.

C’est d’ailleurs ici que le groupe a été appréhendé, juste après la grande prière du vendredi. Il semble qu’ils étaient en train de célébrer, à leur manière, le mawulid (la naissance du prophète Muhammad). Ces personnes ont été libérées samedi soir, après avoir passé un peu plus de vingt-quatre heures de garde à vue. D’après l’une d’elles Saïdali alias Silverio, le groupe a bénéficié d’une liberté conditionnelle : ses membres doivent, de temps en temps, se présenter à la gendarmerie pour signaler leur présence.

Interrogé par Al-watwan sur les circonstances exactes de ces arrestations et si c’était le parquet qui les avait ordonnées, Ayinou, le substitut du procureur de la République au palais de justice de Mutsamudu, a juste expliqué que “ces gens étaient en train de transgresser la loi sur la pratique religieuse”, récemment entrée en vigueur.

Et d’ajouter que “les gendarmes n’ont pas besoin d’être mandatés par le parquet pour intervenir lorsqu’ils attrapent des gens en train de transgresser la loi”. Cette affaire a, le lendemain, nourri la palabre dans tous les lieux de rassemblement de Mutsamudu ; partout où l’on passait, l’on n’entendait parler que de la fameuse “rafle chez les chians”. Certains, comme l’uléma Koussoy Abdallah (à l’origine du texte soumis à l’assemblée nationale en 2008 et qui deviendra, cinq ans après, la fameuse loi sur les pratiques religieuses aux Comores), jubilent.

“C’est ce qui devait arriver : après la promulgation du texte, il fallait passer aux actes”, a-t-il déclaré à un confrère. “Comment peut-on parler de propagande ? Ces gens étaient dans leur propre lieu de culte, entre eux !”, commente ainsi Moustakim, un voisin de Mahamoud, qui a assisté à l’intervention des gendarmes. Quant à Mahamoud Abdallah Ibrahim, il admet que la gendarmerie lui avait bel et bien notifié les dispositions de la nouvelle loi en question, et dit avoir même donné son engagement à ne pas faire de propagande religieuse.

Il estime, toutefois, qu’il n’était pas justement en train d’en faire une, et qualifie donc leur arrestation d’arbitraire. Il faut dire que depuis l’entrée en vigueur, il y a presque un mois, du décret présidentiel portant règlementation générale des pratiques religieuses en Union des Comores, plusieurs incidents opposant la population anjouanaise ou l’autorité de la gendarmerie à des chiites ou des wahhabites ont été recensés.

A Tsembéhou, des chiites qui célébraient le mawulid ont été dispersés et leur maître à penser a été arrêté et a passé des heures de détention à la gendarmerie. A Pomoni, un présumé wahhabite qui remuait l’index dans sa prière (comme le font certains dans la phase terminale de la prière musulmane) a été violemment expulsé de la mosquée. Ce même samedi à la gendarmerie de Mutsamudu, pendant qu’ustadh Mahamoud et ses fidèles écopent leur garde à vue, un groupe de wahhabites originaires d’Adda-Daweni arrivent sur les lieux avec leurs accusateurs chafiites.

Un litige religieux, qu’ils n’ont pas daigné communiquer, les oppose. A Wani, la mosquée Potoleya, dirigée par des wahhabites, ne célèbre jamais le mawulid. Mais cette fois, en vertu dit-on de la nouvelle loi, une partie de la jeunesse wanienne s’apprête à le célébrer, “de gré ou de force”, le mardi 5 février, avec le risque d’une confrontation avec les dirigeants de ladite mosquée. Rappelons que la loi, promulguée par décret portant règlementation des pratiques religieuses aux Comores, dispose, en son article premier, qu’“en matière de pratique religieuse, la doctrine ahli sunnat wal djamaan, sous couvert du rite al Chaffy, est la référence religieuse officielle en Union des Comores”, et que “dans les mosquées, les imams sont tenus de s’y conformer”.

Le deuxième article prévoit une peine d’emprisonnement ainsi qu’une amende contre “toute campagne, propagande, pratique religieuse ou coutumière non conforme à la doctrine mentionnée à l’article premier, dans les lieux saints ou assimilés ou tout autres lieux publics, qui cause par sa nature des troubles sociaux, porte atteinte à la cohésion sociale ou met en danger l’unité nationale”.

Selon toute vraisemblance, un recours contre ce décret a été déposé devant la Cour Constitutionnelle des Comores par la communauté chiite comorienne.

Sardou Moussa

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 22:13


Ecole_coranique
Le doyen de la faculté Imam Chafiou, le premier président de l’Udc et les anciens ministres de l’Education nationale, respectivement les Dr Bourhane Saïd, Damir Ben Ali, Abdouroihim Saïd Bacar, et Kamaldine Afraitane ont animé conjointement, mercredi dernier, une conférence-débat portant sur l’école coranique rénovée, à la salle de conférence de la faculté Imam Chafiou de l’Udc à Moroni.

L’enseignant et ancien ministre Abdouroihim a fait un exposé sur l’historique de l’école coranique, pendant que Damir Ben Ali a exposé sur la conception de l’école coranique traditionnelle. Selon les conférenciers, l’objectif de la discussion a été d’apporter un maximum d’éclairage sur l’école coranique rénovée. D’autant plus que certains “fundi“ de payalashiyo (où on enseigne la méthode traditionnelle), ont mis leur crainte de voir disparaître, avec l’arrivée de l’école coranique “rénovée”, l’école coranique à la manière traditionnelle.

Au cours de la conférence, le docteur Abdouroihim Saïd Bacar a soutenu que l’école coranique rénovée constituait “une synthèse, une fusion de la religion et de la tradition pour une bonne éducation des enfants“. Pour sa part, le directeur de l’établissement Ahli Sunna waldjamaan, fervent défenseur de l’école rénovée, a déclaré, à l’occasion d’un entretien avec Alwatwan, que l’école coranique “telle qu’elle est conçue traditionnellement était à la limite de la torture morale et physique à l’égard des enfants“.

Fundi Charif Mohamed Mouigni, rencontré à son école sise à Moroni-Coulée, a tenu, par ailleurs, à préciser que le projet de l’école coranique rénovée n’était pas un programme de l’Unicef, mais du gouvernement comorien et a “rappelé“ que l’implication de cet organisme de l’Onu venait du fait que “le fils de l’Emir de Dubaï, Maed Ben Mohamed Ben Rachid Ali Maktoum, a versé une somme importante d’argent au compte de l’Unicef pour le financement des écoles coraniques rénovées”.

Il a rappelé que lors de la conférence, “on s’était convenu à des assises qui vont permettre à tous les Fundi de donner leur opinion, afin de trouver une solution”. Une certaine opinion des maîtres de l’enseignement coranique traditionnel soutient que la dénomination de “école coranique rénovée“ peut être trompeuse, que cela pouvait “cacher quelque chose d’autre“.

Pour sa part, le doyen Bourhane Saïd Abdallah a soutenu que l’école coranique rénovée n’était pas venue remplacée l’école coranique traditionnelle et qu’il s’agissait d’une maternelle à laquelle on a introduit des activités propres à la religion. “Il s’agit d’enseigner la religion telle qu’elle est enseignée aujourd’hui, mais aussi de préparer les jeunes à la maitrise des langues officielles du pays”, a-t-il expliqué.

Douze écoles coraniques rénovées pilotes ont été ouvertes à Ngazidja et dans le courant l’année scolaire en cours, 2011-2012, quatre vingt écoles coraniques rénovées sont intégrées aux différentes écoles primaires de l’île. Le projet prévoit l’ouverture de deux cents dans l’ensemble du pays. Des assises sont prévues à une date ultérieure pour jouer le rôle catalyseur, afin de trouver un terrain d’entente avec les maîtres des écoles coraniques traditionnelles.

A.Andhumati

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 13:42

allah2

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:13
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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:09
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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:05
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